La construction du château de Cēsis a débutée en 1209. Le château fût le plus important de l’Ordre de Livonie et en fût également la résidence officielle du maître de l’Ordre.
En 1577, durant la Guerre de Livonie, l’armée et les habitants de la forteresse ont préférés détruire le château plutôt que de devoir le céder aux forces d’Ivan IV de Russie, aussi connu sous le nom d’Ivan le Terrible. Le château fût reconstruit entre 1598 et 1620, avant d’être de nouveau démoli en 1703 par les forces russes et laissé en ruines depuis.
Le château est en cours de restauration depuis quelques années, mais ce travail s’étalera encore sur plusieurs années.
Le château de Bauska a vu sa construction débuter vers 1443 et être achevée vers la fin du 16e siècle. La raison d’être du château était de renforcir les pouvoirs de l’Ordre de Livonie, notamment en protégeant la frontière avec la Lithuanie et en contrôlant le commerce entre la Lithuanie et Rīga.
Après la chute de l’Ordre de Livonie en 1562, le château devint alors l’une des résidences du Duc de Courlande jusqu’à la construction du palais de Rundāle, situé à peine à 10 km.
Le palais de Rundāle est situé à environ 1h20 au sud de Rīga. Sa construction a débutée en 1736, mais fût interrompue de 1740 à 1762, pour être finalement complétée en 1768.
Au-delà de son rôle initial de palais pour le Duc de Courlande, l’édifice a été réquisitionné à quelques reprises pour agir à titre d’hôpital militaire, notamment pendant la campagne de Napoléon en Russie en 1812 et pendant l’occupation allemande durant la Première guerre mondiale.
En 1920, le palais est devenu la propriété du Ministère de l’Agriculture letton, suite à la réforme agraire dans le pays. Il fût alors utilisé à titre d’école et ce, jusqu’en 1978.
De 1992 à 2015, le palais a subi une cure de restauration et est aujourd’hui l’une des attractions les plus visitées en Lettonie.
N’écoutant que notre soif de découvertes lettones, nous sommes partis un samedi matin aux aurores pour la ville de Liepāja. On a alors compris pourquoi Aurore était surnomée la martyre… car se lever à 05h00 du matin pour prendre un bus… c’est de la souffrance !
Bien située géographiquement sur la côte de la mer baltique elle a eu un rôle de base militaire pendant plusieurs années. Après un voyage de plus de trois heures nous sommes arrivés en ville. Fait particulier, certaines personnes ont été debout pendant une portion plus ou moins longue du trajet, dans un autobus voyageur. On a découvert qu’on pouvait acheter les billets de bus directement du chauffeur. Il y a donc fort probablement quelqu’un qui vend des tickets on the side. Wink wink le chauffeur !
Première constatation, la ville est plutôt déserte… Plusieurs bâtiments sont vides, mais malgré tout en bon état. Comme si leur désertion avait été faite au beau milieu de la nuit dernière. La diminution assez rapide de la population semble être un problème en Lettonie, nous en parlerons d’ailleurs dans un prochain texte.
Après avoir déposé nos bagages à l’hôtel nous partons à la recherche d’un repas. Nous trouvons une pizzeria qui semble assez populaire. La pizza gigantesque arrive sur la table et bon, on repassera pour la croûte bien cuite et le fromage attrayant.
On est loin de la pizza du restaurant Brigade !
Nous sommes enfin prêts à partir vers une des attractions les plus populaires de la ville et ses environs, les anciennes forteresses soviétiques, bâties près de la mer.
Comme elles ne sont pas au centre de la ville nous devons nous y rendre en taxi. Nous utilisons donc l’application Taxify, arrivée depuis peu à Liepāja. Notre chauffeur, Sergejs, arrive quelques minutes plus tard dans sa mini-fourgonnette qui semble également servir comme « limousine » une fois de temps en temps auprès de la jeunesse lettonne. Lumières LED, écran de télé, velcro tout autour de la cabine du conducteur, tâches sur le siège… il y a visiblement du party qui s’y fait. À ceux qui comprendront la référence… on se serait cru dans un véhicule de la flotte du « Fake Taxi » !
Il nous amène à bon port et nous pouvons admirer plusieurs ruines de forteresses construites sur les rives de la mer. Plusieurs encore en relativement bon état malgré les tentatives, jadis, de les faire disparaitre par explosion. Nous marchons donc sur la plage pendant quelques heures pour en découvrir plusieurs.
Arrivés au bout de notre expédition, nous commandons un taxi et nous voyons arriver… Sergejs ! 🙂 Il nous explique alors que le service est tellement nouveau à Liepāja qu’ils ne sont que trois chauffeurs à couvrir la ville ! Bon, c’est sûr qu’il trouve ça drôle de nous revoir… mais le fait qu’il ait dû se claquer 15 minutes de route pour venir nous chercher (minutes qui ne lui seront pas rémunérées), il doit trouver ça moins drôle. Mais bon, ce sont les aléas de cette application.
Nous retournons donc avec lui en ville et repartons à la découverte du centre avant le souper. Nous souhaitons bonne soirée à Sergejs et nous lui disons, à la blague, « À demain ! ».
Nous marchons vers la plage (Et oui ! il y a des plages partout en Lettonie) sur une rue principale vraiment large. Nous rencontrons sur notre parcours plusieurs jeunes en « wetsuit ». Nous ne comprenons pas encore trop ce qui se passe… mais nous apprendrons en arrivant à la plage que nous avons manqué une compétition « internationale » jeunesse de planche à voile. Malheureusement, nous nous rendrons compte un peu plus tard, grâce à des cris stridents d’excitation, que plusieurs participants logent à notre hôtel.
Nous nous dirigeons ensuite vers le restaurant M’O qui nous a été chaudement recommandé par une collègue qui est native de Liepāja. Et elle avait raison, c’est très bon. Francis voulait commander l’anguille, mais il n’en restait plus lors de notre arrivée. Par contre, surprise !… quand vient le temps du dessert, elle est revenue au menu !! 🙂 Bon, nous n’avons pas trop compris d’où elle était sortie, mais elle était très bonne !
Le temps de faire un appel Skype pour le « SURPRISE » de Martine et nous sommes de retour à l’hôtel. À la recherche d’un endroit pour prendre un dernier verre nous nous rabattons sur le bar de l’hôtel et nous confirmons notre impression qu’en Lettonie, si tu veux prendre un verre et que tu n’es pas dans la vieille ville de Riga il faut que tu aies soif avant 22h. Et que tu boives vite si l’heure de la fermeture approche ! 🙂
Le lendemain nous sommes prêts à aller en prison, l’ancienne de Liepāja bien sûr ! Nous cherchons donc un taxi sur Taxify, mais nos recherches sont vaines. Sergejs doit faire la grasse matinée… Nous prenons donc un taxi régulier vers notre destination. Nous nous rendons compte après quelques minutes que nous semblons être embarqués dans la voiture du répartiteur de la compagnie… car plusieurs personnes l’appellent ayant besoin de ses services en ce dimanche matin. Son téléphone ne dérougi pas ! Deux cellulaires à la main en conduisant une voiture manuelle… le gars est clairement né pour faire ça !
Nous avons pris une visite guidée de la prison de Karosta. Un tour privé puisque nous étions seuls dans le groupe anglophone. Notre guide, portant l’uniforme de gardien, nous a expliqué tout ce qu’il y avait à savoir sur cette ancienne prison militaire. Francis a été content de pouvoir pratiquer sa mémoire de « Génies en herbe » lorsque questionné par le guide sur les portraits de tous les anciens secrétaires-généraux du parti socialiste soviétique.
Portraits des secrétaires généraux de l’URSS, dans le bureau du directeur de la prison de Karosta
Après avoir échappé de peu à une puissante averse lettone nous avons décidé de marcher vers l’église luthérienne de la ville qui fut, durant l’occupation soviétique, convertie en salle de divertissements pour les militaires. Splendide de l’extérieur, elle est plutôt drabe à l’intérieur. Les soviétiques l’avaient dépouillée de ses atouts, afin qu’elle n’ait plus vraiment de connotation religieuse. Mais bon… c’est pas comme si nous l’avions visité vraiment. Premièrement, nous étions un dimanche midi et il y avait une genre de messe. On dit « genre », car il n’y avait pas de bancs… tout le monde était debout et il y avait un genre de prêtre qui saluait les fidèles. Fidèles presque exclusivement féminines, d’ailleurs. Et, deuxièmement, pour rentrer, bien qu’il n’y avait pas d’indications à cette effet, nous avons compris que les femmes devaient porter un voile sur leurs cheveux (des tonnes de voiles étaient mis à leur disposition sur une table à l’entrée), et une espèce de jupette en tissue. Bon, on a constaté que même à l’Église, les jeunes lettonnes sont soucieuses de leur image. L’une d’entre elle a dû passer un bon 2 minutes à trier les voiles avant d’en choisir un qui semblait être coordonné à son linge. Les plus vieilles, elles, ne semblaient pas trop s’en faire de ressembler à « Môman » de la P’tite Vie !
Puis, nous avons marché jusqu’au pont nous permettant de retourner à la ville. Il s’agit d’un pont articulé qui se pivote pour laisser passer les plus gros bateaux. Nous savions qu’il était fermé à la circulation routière, mais Google nous disait qu’on pourrait le traverser à pied… Euh non ! 🙂 Nous avons donc dû appeler un Taxify. Qui d’autre que Sergejs pour nous ramener en ville ! 🙂 Eh oui, encore Sergejs, notre sauveur.
Le fait que le pont soit perpendiculaire à la route est un signe qui nous a permis de constater qu’on ne le traverserait pas !
De retour à la civilisation Liepājaienne il était temps de nous nourrir. Nous sommes donc partis à la recherche d’un resto. Notre premier choix étant fermé, nous nous sommes présentés à notre deuxième choix qui était fermé aussi ! 🙂 Une lecture du menu de notre troisième choix nous a amené à notre quatrième choix qui était… fermé !! 🙂
Nous avons donc décidé d’aller visiter le musée de la ville d’abord ! C’est un petit musée qui est tout en letton. Nous avions donc rapidement fait le tour ! 🙂
De retour à notre recherche de resto (puisqu’il n’y en avait pas dans le musée), nous sommes allés sur la plage pensant trouver le Red Sun Buffet, mais le nom est trompeur parce que c’est plus un café qu’un buffet. Nous qui nous ennuyons du Mandarin… ça sera pour une autre fois, faut croire ! Notre choix suivant s’est avéré ne pas servir de nourriture, même s’il y avait un menu disponible ! 😦 Au bout du compte nous nous sommes rabattus sur le resto… de l’allée de bowling ! 🙂
Bien remplis de friture, nous avons repris le chemin du retour aux premiers bancs dans l’autobus; ça a ajouté du spectacle des nombreux lettons qui doublent tout ce qui bouge sur l’autoroute à deux voies en contresens ! 🙂
À la fin du 19e siècle, sous l’empire russe, Liepāja (plus précisément son quartier de Karosta) avait été choisie pour accueillir une base navale et ce, pour deux raisons stratégiques: 1) la ville est située sur la côte de la mer baltique et 2) contrairement aux autres emplacements possibles en Finlande, Estonnie, Russie… cette portion de la mer baltique ne gèle pas en hiver.
C’est ainsi que naissa le rôle militaire de Liepāja.
Afin de protéger la base, l’armée russe décida alors de construire un système de fortifications qui ceinturerait celle-ci. Un grand nombre de forteresses furent alors érigées autour de la base, afin de la protéger d’éventuelles menaces extérieures.
Toutefois, en 1908, le tsar Nicholas II décida d’abandonner ce système de fortifications, ne le trouvant pas assez efficace. Certaines portions furent détruites et beaucoup d’autres, laissées à l’abandon. Ce sont les forteresses abandonnées que nous pouvons ainsi observer aujourd’hui. Après plus d’un siècle d’abandon, la mer a tranquillement repris possession de ses berges Sous l’action de l’eau, le sable a travaillé et les forteresses se sont affaissées… et brisées. Aujourd’hui, elles ne sont plus que des ruines…. mais elles offrent un très beau spectacle.
Liepāja est une ville de la côte ouest de la Lettonie. Troisième ville en importance du pays, elle compte environ 80,000 habitants. Plutôt en déclin aujourd’hui, elle fût effervescente sous le règne soviétique, non seulement pour ses manufactures… mais principalement pour sa base navale de l’armée soviétique. À son apogée, plus de 40,000 personnes travaillaient et habitaient dans le seul secteur militaire, appelé Karosta. Autrefois une ville indépendante et bien gardée, Karosta est aujourd’hui incorporée à la ville de Liepāja. L’armée soviétique ayant quittée définitivement cette base en 1994 (quand même trois ans après le retour à l’indépendance de la Lettonie), le secteur de Karosta est aujourd’hui plutôt mal en point. Les anciens édifices militaires sont laissés à l’abandon et les logements, des édifices de type « blocs soviétiques », n’inspirent pas grand confort.
Liepāja n’affiche pas la meilleure des mines non plus. Ville plutôt tranquille dans laquelle nous pouvions marcher plusieurs minutes sans ne croiser passant ni voiture. L’achitecture des édifices de la ville est par contre vraiment jolie.
Ça doit faire trois semaines de canicule à Riga qu’à tous les jours quelqu’un nous pose une question sur une variante de la plage : « Êtes-vous allés : à la plage / vous baigner / nager / à Jurmala ? », alors n’écoutant que notre courage, et les nombreux conseils de nos nouveaux collègues-excités-du-30-degrés, nous sommes FINALEMENT allés à la plage à Jurmala.
Nous avons donc décidé de réserver une chambre dans un hôtel de Jurmala un samedi soir en plein cœur de l’été caniculaire, quelle erreur de débutant ! 😊 Il faut savoir qu’il y a un train qui part du centre de Riga assez régulièrement et qui fait plusieurs arrêts à Jurmala. Ce train est très peu dispendieux et fait le trajet en environ 30 minutes. Il est donc tout à fait possible de faire un aller-retour la même journée.
Nous avons décidé, lors de notre arrivée en ville, de marcher sur la rue piétonne qui s’étend sur plusieurs pâtés de maisons et qui offre de nombreux restaurants, cafés, magasins de souvenirs et autres lieux touristiques du genre. Nous avons trouvé l’endroit un peu calme, mais nous nous sommes dit que nous y reviendrions le soir pour voir si la rue serait plus animée.
Nous nous sommes donc dirigés vers la plage, en se disant qu’on y mangerait un petit quelque chose sur le pouce sur le bord de l’eau, erreur de débutant numéro deux ! 😊 Nous avons compris qu’à Jurmala, la plage, c’est la plage. Il y a bien quelques petites tentes, mais l’offre est surtout liquide et sous forme de crème glacée, pas l’idéal pour diner. Nous avons donc rebroussé chemin, afin de nous sustenter et surtout pour calmer l’humeur massacrante de Francis. C’est pas mêlant, Isabelle se croyait dans une mauvais pub télé de Snickers ! Le premier restaurant rencontré a fait l’affaire ! J
Une bière et une salade plus tard nous étions de retour sur le chemin de la plage. Nous avons profité d’un petit dépanneur près d’une entrée de la plage pour acheter des crèmes glacées et des bières qu’on pourrait boire sur la plage. Nous avions vu un panneau indiquant qu’il n’était pas possible d’avoir des bouteilles sur la plage, mais comme notre letton est inexistant, on ne savait pas trop si c’était les bouteilles en vitre qui étaient interdites ou les boissons alcoolisées. Au pire, on jouerait la carte du touriste. Erreur de débutant numéro trois !!! J
Une fois bien installés au bord de l’eau, sur nos serviettes grises IKEA, avec notre bronzage d’ours polaires et nos costumes de bain canadiens (ici le speedo et les bikinis triangles-cordes-dans-les-fesses sont plutôt populaires pour tous les genres de silhouettes), nous avons pris la décision d’ouvrir nos canettes de bières. Et presque immédiatement nous avons été repérés ! Pas par la patrouille de la plage mais par les abeilles affamées de Jurmala ! Nous pensons maintenant qu’elles entendent le « psitttt » de l’ouverture des canettes à des kilomètres aux alentours !! J Et comme nous avions renversé un peu de liquide sur le sable et sur nos serviettes et comme nos chandails nous servaient maintenant de boucliers bières/abeilles elles n’ont pas arrêtées de nous tourner autour de l’après-midi. En fait, oui, elles ont finalement arrêtées de nous suivre… quand un orage subit s’est abattu sur nos têtes afin de clore notre après-midi de bonheur à la plage !! J
C’est à cet instant que nous avons pris la sage décision de retourner à l’hôtel en taxi et de profiter de l’air climatisée qui nous avait un peu manqué les dernières semaines. En repartant de l’hôtel pour le souper, nous avons marché vers le restaurant et nous avons pu constater que la population moyenne de Jurmala ne semble pas vivre sur le salaire mensuel moyen de la Lettonie. Plusieurs immenses maisons en bois, sur de grands terrains, entre le moderne et l’antique, possédant de larges terrains. Les compagnies de clôtures et de systèmes de sécurité doivent être prospères dans cette ville.
Le restaurant nous a un peu réconciliés avec notre journée. Presque directement sur la plage, nous avions une très belle vue sur l’eau et le couché de soleil et la nourriture était excellente. De retour à un mode festif, après quelques verres de vin, nous avons décidé d’aller redécouvrir l’artère commerciale de la ville en soirée. Erreur de débutant numéro quatre ! J Après quelques difficultés à trouver un taxi, nous sommes arrivés là-bas pour se rendre contre que ce n’était pas vraiment plus excitant que dans la journée… Nous avons quand même trouvé une terrasse de type « beer garden » ouverte et Francis est allé à l’intérieur pour acheter des consommations. La commande initiale : bière et verre de vin rouge. La commande finale : bière et cidre. Selon la légende racontée à Isabelle au retour de l’expédition, il semblerait que la bouteille de vin rouge, sortie des profondeurs d’une armoire glauque, ait fait le même son à l’ouverture qu’une canette de bière qui appelle les abeilles sur la plage « psitttt » et que le liquide qui restait au fond n’aurait pas eu le goût des prétentions de l’endos de la bouteille.
Francis qui est fier de raconter qu’il a « sauvé la soif » d’Isabelle
Nous étions donc en train de boire tranquillement les trouvailles de Francis lorsque le commerce a fermé ses portes. Il est 23 heures, on ferme ! J Maintenant, on sait pourquoi tout le monde retourne à Riga le soir venu. Nous avions quand même une dernière carte dans notre jeu, le bar de l’hôtel. Nous sommes arrivés pour le « last call » ! J Alors, à moins d’être invité dans un des nombreux mariages qui étaient célébrés ce soir-là à Jurmala, les options de sorties sont quand même limités pour le touriste moyen ! J
Le lendemain, avant de repartir vers Riga, nous sommes allés une dernière fois à la plage. En connaissant maintenant toutes les erreurs de débutant, nous y avons passé un très bel avant-midi à commenter toutes les sortes de maillots, sans rencontrer de Jurma-l’abeille (Francis trouve son jeu de mot très drôle – à vous de juger !J). La plage s’étend quand même sur plusieurs kilomètres et l’eau est peu profonde. Elle est donc assez chaude pour s’y baigner si la couleur un peu brunâtre ne vous rebute pas trop. Le sable est fin et il n’y a que quelques algues. Nous y retournerons surement, mais pour la journée seulement ! J